Contributions
Ils parlent de Marian Marinescu
Hugo DELOYE -
"Convaincu d'une enquête bafouée, convaincu d'une justice aveugle et lente, et surtout convaincu de ton innocence. Tiens bon car nous te soutiendrons jusqu'au bout."
Nicolae Lupu -
"M Marinescu est une personne honnête qui aimait sa famille et de surcroît ne pouvait pas faire un aller retour de Roumanie en 48 h"
Ion Floricica -
"Je connais Marian Marinescu depuis les années d'études à l'Université de Grenoble. En sachant son caractère d'homme honnête et généreux je ne crois pas qu'il puisse commettre un crime aussi horrible. De plus, d'après l'enquête, il était en Roumanie pendant le tragique evenement. C'est pour cela que je suis convaincu de son innocence et je soutiens la mise en liberté immédiate."
Doina Mandita -
"Sunt sora lui Marian Marinescu. In urma cu 30 ani a inceput un cosmar, prin uciderea cumnatei si nepoatei mele. Ani de zile ne-am intrebat cine e vinovatul. Iar in urma cu un an si jumatate cosmarul a evoluat in alta directie. Pe langa faptul ca nu s-a gasit faptasul sau faptasii, este invinuit fals fratele meu. Sunt cea mai indreptatita sa afirm acest lucru. In data de 6 ianuarie 1993 fratele meu a venit la mine acasa, in jurul orei 14.30 si mi-a spus ca vrea sa vorbeasca in Franta cu Michele, sotia lui, deoarece stia ca in acea zi ea nu mergea la serviciu si o poate gasi acasa. In acei ani din Romania nu se putea vorbi in strainatate formand direct de la telefonul tau fix, ci numai prin intermediul telefonistei. Eu am fost cea care a facut comanda telefonica si tot eu am fost prima care a vorbit cu Michele cand s-a facut legatura. Dupa cateva cuvinte de salut i-am dat telefonul fratelui meu . Aceasta convorbire a avut loc in jurul orei 15. Din cate se pare, Michele si Christine au fost atacate chiar in data de 6 ianuarie 1993, dupa amiaza sau seara, deci la scurt timp dupa convorbirea pe care am avut-o eu si Marian cu Michele. Despre aceasta convorbire am declarat de fiecare data cand am fost intrebata de organele de ancheta. Dar nimeni nu ia in considerare declaratia mea; de ce ? Chiar daca s-au gasit acele urme pe pantalonii fetitei, sigur este o alta explicatie si ea trebuie gasita de cei in drept. Fratele meu trebuie eliberat urgent. MARIAN MARINESCU ESTE NEVINOVAT !"
Evelyne Toulouse -
"Je suis la compagne de Monsieur Marinescu depuis plus de 22 ans et je ne puis croire en aucun cas, qu'il soit l'auteur de ce crime atroce ... J'ai vécu avec un homme équilibré, détestant tout conflit ,et je n'ai vu chez lui , aucune once de violence . Comment peut-on imaginer, qu'un scientifique , chercheur, féru de mathématiques, ait pu laisser autant de traces personnelles sur les lieux , comme des signatures pouvant directement l'inculper...Pour un homme qui a toujours revendiqué sa liberté grâce à une réussite d'un labeur acharné , je vous laisse y réfléchir !"
Laila Pin -
"On est avec toi"
Anthony Arnaud -
"Je vous témoigne tout mon soutien à la famille dans cette épreuve. Courage à vous soyez fort."
Evelyne Vial -
"Soutien à Marian accusé à tort dans cette sordide affaire."
Antoine Jannin -
"Soutien à l'innocence de Marian"
Salvatore CACCIATORE -
"Courage à vous Marian.. Salvatore.."
Helena Krupnova -
"Nous sommes les amis de Marian et nous n’avons aucun doute qu’il est innocent! Une énorme erreur judiciaire est en train d’être commise! On lui prend les années de sa vie! Il faut qu’il soit libéré au plus vite!"
Sabrina Pin -
"Nous vous soutenons et espérons que vous serez acquitté rapidement. Courage à vous."
François Perconte-Duplain -
"Courage à vous pour traverser cette horrible injustice."
Marine Favre -
"Courage dans l'espoir d'une justice pour Julien et son papa."
Vasile Mandita -
"Sunt cumnatul lui Marian.Il cunosc de 33 de ani Este un OM de caracter.Am convingerea ferma ca este NEVINOVAT, el fiind in Romania in acele momente groaznice pentru familia lui.Eu stiu ca nu a plecat din Romania, ci a stat toata perioda de concediu in tara. Motivele invocate de procurori ca ar fi suficiente 48 de ore dus-intors Buzau(Romania)-Grenoble(Franta), sunt FALSE.Cine a trait in Romania pana in anii 90, stie ce inseamna sa ajungi cu o masina Dacia 1300(Renault 12),din Buzau pana la granita de vest , in conditiile in care puteai circula numai pe drumuri nationale , fara autostrazi ,trecand prin multe sate pline de carute cu cai si boi, cu animale si camioane lente si drumuri pline de gropi.Aveai nevoie de minim 12 ore de trafic infernal.Mai aveai nevoie si de odihna.Abia in anii acestia poti sa faci un drum pana la granita de vest, cu un autoturism bun , in 7-8 ore, mergand si pe bucati de autostrada.Cum justifica procurorii viza de pe pasaport, care este reala si pe care nu o infirma.Au vreo dovada ca a mers cu alt pasaport?Romania a infirmat ca a dat unul romanesc. Sunt alaturi de Marian si sustin eliberarea lui din detentie.ESTE NEVINOVAT! Numai in scrierile lui Kafka mai poti intalni asemenea situatii(vezi Metamorfoza si Procesul). Ii doresc sa iasa cat mai repede din acest cosmar pe care nu il merita."
Nita Ioan -
"Il cunosc pe Marian Marinescu din timpul liceului. Suntem prieteni de peste 60 de ani. De cate ori a venit in Romania ne-am intalnit ori in Buzau ori in Bucuresti. Il cunosc bine pe Marian. Este o persoana echilibrata, cumpatata, civilizata, educata. Nenorocirea din viata lui i-a adus o suferinta de neimaginat. In aceasta situatie, mi se par de neinteles acuzatiilie care i se aduc. Sunt absolut convins ca Marian nu acomis si nu ar putea comite niciodata faptele care i se atribuie. In perioada sarbatorilor de iarna de la inceputul anului 1993 am fost in vizita la parintii mei la Buzau. M-am intalnit atunci cu Marian si cu inca un prieten (Ilie Cornel, decedat). Nu am avut nici un moment impresia ca Marian sa fi fost atunci plecat din Buzau."
Yves M -
"Cela fait 17 ans que j’ai le plaisir et l’honneur de connaître cet homme. Pas un instant, pas une seconde l’idée que Marian Marinescu puisse être coupable ne m’a effleurée. Pas une once d’hésitation n'a pas davantage surgit dans mon esprit à la suite de son inculpation. Que la justice et ses représentants poursuivent la quête de la vérité est, bien évidemment, une nécessité. Cela est dû aux noms des victimes en premier lieu, de leurs familles et plus largement de nous tous citoyens, de la société en somme. Qu’elle ne néglige aucune piste est un devoir. Qu’elle n’abandonne pas tant que la vérité n’éclate est une vertu. Pourquoi ai-je alors une telle certitude, rivée au corps ? Pourquoi suis-je affligé de son incarcération ? Parce que qui s’intéresse un tantinet à l’homme, à sa personnalité ne peut pas penser que cela puisse être lui qui ait commis ces crimes abjectes. Marian Marinescu est l’un des hommes les plus intelligents, les plus brillants qu’il m’ait été donné de connaître. Scientifique hors pair, Marian Marinescu appartient, indubitablement, au cercle restreint des hommes surdoués. Ne croyez pas qu’il en tire une quelconque fierté, qu’il en soit infatué. Aucunement. L’homme est peu disert, presque taiseux. Il ressemble au goéland de Baudelaire que ses ailes de géant empêche de marcher. Féru de mathématiques, il peut passer des nuits à résoudre des équations, noircissant des pages de calculs obscurs aux yeux des non initiés. Marian est un homme qui gagne à être découvert, qui ne se livre pas au premier contact. Une fois la confiance instaurée, il se révèle très urbain, attentif et attentionné. Grand, massif, avec un regard profond et des sourcils fournis, il peut paraître impressionnant de prime abord alors qu'en définitive il est assez raffiné voire presque timide. Timide mais pour autant d’agréable compagnie, tant son érudition est foisonnante et son intérêt à ceux qui lui sont chers sincère. C’est un père aimant, soucieux du bien-être et du bonheur de son fils, Julien, et de sa compagne. Partageant la vie de ma belle-mère depuis 20 ans, je le sais très affectueux et très aimant également. Avec ces beaux-enfants, comme leurs enfants, il est prévenant et aimable, toujours doux. Roumain d’origine, il a fait ses études à Bucarest avant de saisir l’opportunité de fuir la dictature de Nicolae Ceausescu, en achevant son parcours universitaire en France Marian Marinescu est un chercheur. Après des années en laboratoire, il a co-fondé une société spécialisée dans les cartes son pour les ordinateurs professionnels, laquelle est devenue - en quelques années - le leader mondial de son secteur faisant une entrée en bourse remarquée. Le succès de cette entreprise, où son épouse Christine travaillait, lui a assuré une retraite confortable. Mais n’allez pas croire qu’il est un homme d’argent. En aucune façon. Il a toujours montré un certain détachement vis à vis des contingences matérielles. Il n’est pas ennemi de ses intérêts, bien sûr, mais ce n’est pas un homme âpre au gain, un spéculateur. S’il vit confortablement il vit sans ostentation. Il aurait pu s’offrir une maison principale plus coquette, mieux agencée. Il n’en a cure. Marian est avant toute chose un intellectuel, éprit de culture. Son aisance, il l’a met au service de sa famille en Roumanie, de son fils et des siens. Si il est resté fidèle à sa partie, s’il n’a jamais renié ses origines, il est viscéralement amoureux de la France. Il jouit d’ailleurs de la double-nationalité. Imaginer que cet homme, en pleine force de l’âge, disposant de toutes ses facultés, entrepreneur, déjà bien installé puisse, résidant à l’époque dans un lotissement somme toute encore modeste et sans réelle intimité en termes de voisinage, revenir de Roumanie où il était allé retrouver, avec son fils, sa famille à 2000 kilomètres de là en plein hiver pour commettre le crime dont on le soupçonne relève de la pure spéculation intellectuelle d’esprits abusés. Diantre, que diable serait-il donc allé faire dans cette galère lorsqu’il lui aurait été tellement plus simple, l'eut-il voulu, d'égorger sa femme et de violer et égorger sa fille à la faveur d’un séjour familial en Roumanie ! Comment songer que cet homme brillant eut été assez stupide et donner foi à un tel scénario ! Sans compter, comme les spécialistes l’ont souligné, que les conditions de circulation à l’hiver 1993, par le réseau routier délabré de la Roumanie, rend totalement abracadabrantesque cette hypothèse. Quoi ! Il aurait abandonné son fils, serait monté à bord d’une voiture, conduisant à tombereau ouvert sur des routes accidentées pour massacrer les siens aux yeux et aux sus de ses voisins qui le reconnaîtraient assurément pour s’en retourner en 48 heures d’où il était parti…alors que son passeport ne porte aucune trace de son passage à la frontière. Alors, si la justice consiste à incarcérer des citoyens sur la base d’élucubrations de ce type, en faisant des conjectures, en fomentant des scénarios aussi absurdes et sans preuve, nous sommes à l’aube d’une ère sinistre et dangereuse. Il aurait fallu qu’il passe à travers les mailles des douaniers, qu’il conduise telle fusée, faisant fi du danger d’être reconnu par son voisinage… pour massacrer sa femme et sa fille de la manière la plus abjecte et répugnante qu’il puisse être… Mais pourquoi donc braver tous ces risques, mué par quelle motivation ? Quel serait donc le mobile du crime ? Quel intérêt aurait-il eut à risquer de ruiner sa vie en ôtant la leur ? N’aimait-il pas son enfant ? Quand bien même le couple traversait-il une crise, quel bénéfice aurait-il tiré de supprimer son épouse alors que l’entreprise lui appartenait ? Ne risquait-il pas d’être hanté, toute sa vie durant, par cet infanticide et cet homicide conjugal ? La justice se doit d’instruire à charge comme à décharge. Or, dans l’affaire Marian Marinescu, force est de constater que l’on a confond détention provisoire et détention arbitraire. Or, dans l’affaire Marian Marinescu, au prétexte qu’il faille donner du crédit à une cellule récemment créée et dédiée aux cold-case, il faut faire des coups ! Des coups médiatiques, à grand renfort de déclarations - fussent-elles hâtives - à la presse. Dans quel but, pour servir quels desseins ? Le procureur de la République a parlé, le présumé innocent se trouve mis aux fers, salit, trainé dans la boue devant l’ahurissement et l’incompréhension des siens et de l’intéressé en tout premier lieu. Marian Marinescu clame en effet haut et fort son innocence. L'entend-on ? L'écoute-t-on ? Marian Marinescu aurait-il été l’auteur de ces meurtres, pourquoi serait-il resté en France ? Comment penser qu’avec son aisance, sa double nationalité, il ne serait pas allé - pas immédiatement bien sûr - trouver refuge dans quelque pays où il aurait encouru moins de risques ? Non, Marian Marisnescu a porté le deuil, s’est occupé de l’éducation de son fils, et à poursuivi son activité professionnelle et sociale sans trembler, sans crainte, sans remords, sans appréhension, sans dissimulation car il n’avait rien à cacher, rien à craindre, n’ayant rien fait ! Le Procureur de la République s’appuie sur une analyse ADN qui illuminerait tout plus de 30 ans après. Une analyse qui laisserait penser que des traces du sperme de Marian Marisnescu aurait été retrouvées sur le pantalon de sa fille. Et que cette analyse permettrait d’imaginer que Marian Marisnescu a parcouru 2000 kilomètres à la vitesse de l’éclair, qu’il aurait bénéficié du laxisme des gardes frontières dans la continuité de la chute du mur de Berlin et qu’il serait assez présomptueux et idiot pour ne pas dire totalement imbécile pour tuer femme et enfant sous le regard curieux de ses voisins ! Autant signer son crime ! Hélas, le dossier est bien plus riche et complexe que cela. Hélas, si l’on peut que s’incliner devant la volonté inexpugnable des serviteurs de la Justice de résoudre l’énigme il faut se garder de tout raccourci, il faut se garder de toute tentation triomphaliste, il faut se garder des affres de l’ivresse médiatique et de l’ambition. Il faut garder à l’esprit la présomption d’innocence, d’autant plus lorsque l’institution elle-même n’en n’est pas à son premier faux-pas. Le dossier du meurtre de Michèle Marisnescu et de sa fille Christine étant un des plus fournis que la magistrature ait à traiter, il faut ne négliger aucune piste et ne pas céder à la tentation de la facilité en écrouant un homme au mépris de l’exploration des autres pistes tangibles et dérangeantes voire inexploitées présentes au dossier. Mais au-delà même de juger le fond de l’affaire, dont on perçoit la complexité, ce qui est surprenant c’est la persistance des juges d’instruction qui se succèdent, au gré des mutations et des indisponibilités plus vite que ne s’écoule les mois derrière les barreaux, à ne pas vouloir laisser Marian Marinescu en liberté, dû-t-il porter un collier électronique ? L’esprit de corps, ne voulant ne faire perdre la face à personne, prédominerait-il sur l’esprit de justice ? Tout d’un coup, les représentants de la Justice craindraient que Marian Marinescu, qui s’est battu des années durant pour que la vérité soit faite, qui a demandé à ce que le dossier ne soit pas clos après 25 ans (quel aurait été son intérêt au demeurant à une telle démarche si il se savait coupable ?), qui depuis 30 ans à la suite de l’affaire n’a pas quitté le territoire ni mit ses avoirs à l’étranger…tout d’un coup ces représentants craindraient qu’il ne prenne la poudre d’escampette soit prétexte qu’il serait franco-roumain, comme si la Roumanie n’appartenait pas à l’Europe et sous prétexte qu’il a du patrimoine ! Les séries, les romans fourmillent de dénouements improbables. Mais le sensationnalisme ne doit pas prendre le pas sur l’application impartiale et éclairée de la loi. Que la présence de traces d’ADN qui peut être simplement liée à une diffusion mécanique lors d’un lavage en machine suffise à priver de liberté un homme de 73 ans et malade, jusqu’alors, respectable et respecté, cela a des relents nauséeux. Que toute la lumière soit faite, nous n’aspirons qu’à cela pour lui, pour Julien, pour les malheureux défunts et les siens. Mais qu’on puisse avoir l’orgueil d’avoir résolu un tel dossier sur un coup de chance et de vouer aux gémonies médiatiques un homme avant même de l’avoir jugé en est un autre et questionne sur un système déjà bien affaibli."
Arthur Tolet -
"Il est vrai que cette affaire est inacceptable. Des conclusions plus que douteuses, des affirmations dans les médias faites de raccourcis et un homme bien rapidement accusé qui semble en parallèle privé de toute liberté d'expression. J'ai du mal à concevoir pourquoi Marian Marinescu reste incarcéré malgré l'absence évidente de preuves irréfutables. Un système judiciaire désespérant, je lui apporte tout mon soutien!"
Petru Gheorghe -
"I know Marian Marinescu from the high school in Buzau and 2 years of university study; I do not think he could do such a horrible crime. Please come with credible facts or put him in freedom.
Marian, eu sunt convins ca esti nevinovat, sper ca justitia sa se miste mai repede si sa te puna in libertate. Fii tare in aceste momente cumplite, astept sa ne revedem."
Grégory Berres -
"Il devient déplorable de voir ce que devient la justice française. Cette affaire manque de médiatisation pour mettre en exergue ce laxisme mais surtout cet acharnement sur un homme de plus de 70 ans. Il est quand même grave qu’un homme d’un tel âge soit en prison depuis bientôt 2 ans alors que plus l’enquête continue d’évoluer plus il devient évident que les soupçons qui pèsent à son encontre ne reposent sur aucun fait tangible."
Cosmin Mandita -
"Buna ziua nenea Marian, Sper sa iesi cat mai repede de acolo. Iti tinem pumnii"
George Cosmin -
"Sunt nepotul lui Marian Marinescu . Este o nedreptate ce se intampla , unchiul meu a fost tot timpul in Romania cand s-au intamplat evenimentele din ianuarie 1993. Ii sustin eliberarea lui pentru ca am convingerea ca e nevinovat."
Philippe Buttoz -
"Connaissant Marian depuis plus de 20 ans, ce qui se passe est incompréhensible et ne correspond pas du tout à sa personnalité. Les éléments portés à notre connaissance semblent bien légers pour forcer une mise en détention et je ne comprends pas pourquoi Marian n'est pas en liberté provisoire dans l'attente de son procès."
Petru Gheorghe -
"Il cunosc pe Marian din timpul liceului si apoi a facultatii; nu cred ca a comis el aceste 2 crime, eu cred in nevinovatia lui."
Lazăr ( Mandita ) -
"C'est la plus grande injustice qui est arrivée à mon oncle. Ça fait trop longtemps qu'il est à tort privé de liberté. En attendant qu'on se revoie bientôt, nous tous t'embrassons fort! Lidia, Razvan et Radu."
Andree Catelain -
"Je connais Marian depuis plus de 20 ans et je suis persuadée de son innocence"
Boris Carrasco -
"Je suis un ami de son fils depuis 15ans, et j'ai eu la chance de rencontrer Marian à plusieurs occasion."
Ferdinand Monteagudo -
"Je soutiens Marian Marinescu pour une libération rapide. Merci"
Julie Andrieux -
"Bonjour, je me permets de vous écrire car ma mère a travaillé chez Digigram à l'époque des meurtres et j'ai suivi de près l'enquête. Savez-vous si une date de procès à déjà été fixée ? Je reste à disposition pour échanger. Cordialement, Julie"
Aurélie C -
" Il est tout simplement scandaleux que Marian Marinescu soit incarcéré à tort pour des faits qu'il n'a pas commis ! Il est la malheureuse victime d'une enquête bâclée et d'un système judiciaire défaillant ! Courage à toi et tiens bon !"
Julien M -
" Les faits dont on accuse mon père sont totalement incompatibles de ce que je connais de lui. C'est un homme bienveillant, non violent, protecteur et respectueux. Il s'est toujours bien comporté et m'a aidé à me développer et m'épanouir malgré le drame. A l'époque nous étions à 2500 km de là et je n'ai pas souvenir de son absence. Je demande la prudence sur ce qui est dit et le respect de la présomption d'innocence. Vu son age, sa santé fragile et tout les incohérences/approximations du dossier, il mérite au moins la liberté provisoire."
Caroline L -
" Je connais Marian depuis plus de 10 ans et je n'y crois pas. Je trouve cette histoire totalement aberrante, avec une justice qui n'est pas impartiale. Les éléments pris en compte dans l'enquête ne sont que des hypothèses incohérentes, qui en oublie tout l'historique. La présomption d'innocence est ici bafouée et au vu de l'avancée de l'instruction il ne mérite pas d'être en détention. Je suis tout cœur avec vous. "
Thouvard -
" Une entière confiance en lui j’ai vécu presque 2ans avec et il m’a témoigné une grande douceur et confiance je le pense incapable de ce geste. "
Anne Durand -
" Pourquoi maintenir en détention un homme qui n à eu aucun problème depuis 29 ans. Que est le danger pour la société ?? Accuser sans preuve est ce la justice??? "
Jacqueline Paroches -
" Marian est un très vieil ami et je suis une inconditionnelle de son innocence, compte tenu des grandes qualités que je lui ai toujours connues. J'espère que cette nouvelle année verra sa libération ! "
Dana Berthelot -
" Persuadée depuis le début de son innocence. Que justice lui soit rendue. "
Danielle Legoff -
" J'ai eu l'occasion de partager des moments de convivialité chez des amis communs avec Marian et son fils Julien depuis 1997. Je ne peux pas comprendre qu'il puisse être encore en détention provisoire depuis 2 ans 1/2 bien que ses avocats aient fait la lumière sur ce qui alimentait des soupçons. En l'ayant connu amical et détendu , je suis sidérée d'une telle conviction des juges à lui attribuer un crime aussi sordide "
Francine Mongin -
" Remise en liberté pour Marian Marinescu ! Justice où es tu ? Assez d'arbitraire ! "
Olivier Polge -
" Courage Monsieur Marinescu. "
Isabelle CA -
" Quand les hommes de pouvoir arrêteront ils leur domination absurde et créant souffrance autour d'eux...pour tenter de prouver que de nouveaux outils scientifiques marchent. "
Thibaut A -
" Je soutien Marian, je le connais et suis persuadé de son innocence. Lui ainsi que sa famille ne mérite pas de subire tout ceci. S'il vous plaît mettez fin à cette histoire. "
Genevieve C -
" Je connais Marian comme étant un homme gentil, généreux, accueillant, serviable, intègre, travailleur. Cet acte aussi horrible aurait-il pu le commettre ? J'en doute fort !! Pour moi les dés on été pipés par avance je n'en démordrai pas ! La balance de la justice penche du mauvais côté comme bien souvent ! Marian courage ! Il y a toujours une lumière au bout du tunnel !! Mon soutien t'est totalement acquis ! "